Blog2025-01-15T12:04:00+01:00

Le Blog des Histoires jamais entendues

Les éditions des Histoires jamais entendues sont le fruit d’une longue aventure. De celles qui s’écrivent chaque jour un peu plus. Laissez-nous tout vous raconter…

502, 2025

Varsovie, capitale mondiale des amoureux des chats

By |5 février 2025|Pologne|0 Comments

Varsovie, en Pologne, s’impose comme la meilleure ville pour les passionnés de chats, selon une étude menée par le site australien Compare the Market. Avec un score de 8,9 sur 10, la ville combine un taux élevé de possession de chats (41 % des foyers) et un nombre record de vétérinaires, soit 13,9 pour 100 000 habitants, malgré des logements généralement plus petits.

L’étude, réalisée à partir de données sur 59 grandes villes, a évalué des critères comme la taille moyenne des logements, la présence de cafés à chats, de magasins pour animaux, de pensions pour chats et de vétérinaires par habitant. Chaque ville a été notée sur une échelle de 0 à 10 pour chaque critère, avant d’obtenir un score moyen.

Auckland, en Nouvelle-Zélande, occupe la deuxième place grâce à un taux de possession de chats équivalent à celui de Varsovie, bien qu’elle compte un peu moins de vétérinaires et de magasins spécialisés. En troisième position, Brisbane, en Australie, se distingue par un nombre supérieur à la moyenne de services vétérinaires et de pensions pour chats.

Le classement met également en avant la prédilection des Canadiens pour les félins, avec quatre villes dans le top 10 : Calgary, Edmonton, Ottawa-Gatineau et Vancouver, où 40 % des foyers possèdent un chat. D’autres villes australiennes comme Perth et Sydney se distinguent également.

L’intégralité des résultats, ainsi que les données détaillées, sont disponibles sur le site de Compare the Market.

Bertrand, éditeur des Histoires Jamais Entendues

Image (c) Le Mag du Chat édité par My Beautiful Company 

402, 2025

Le Mystère du Christ Noir de Portobelo : une légende entre ciel et mer

By |4 février 2025|Panama|0 Comments

Au cœur d’un petit village panaméen, une statue unique en son genre, le Christ Noir de Portobelo, fascine depuis des siècles. Mélange de croyances, de miracles et de traditions ancestrales, ce symbole de foi a traversé les âges pour devenir l’objet d’un culte vibrant. Découvrons son incroyable histoire.

Une découverte mystérieuse sortie des eaux

Imagine un soir paisible à Portobelo, ce village côtier bordé par les eaux du Panama. Selon une légende locale, un esclave noir, en pleine partie de pêche, aperçoit un étrange objet flottant dans les vagues. Intrigué, il s’approche et, à force d’efforts, tire sur le rivage un énorme paquet enveloppé.

Des villageois curieux se rassemblent autour de lui alors qu’il dénoue les cordes. Et là, stupeur : une statue du Christ, sombre comme l’ébène, apparaît sous leurs yeux. Pour ces témoins émerveillés, ce n’est pas un simple hasard. Non, c’est un signe divin.

Le miracle du Christ Noir

Le mystère grandit lorsque, peu de temps après l’arrivée de la statue, un événement inattendu bouleverse la région. Une terrible épidémie, qui faisait des ravages dans les villages alentours, cesse brusquement. Pour les habitants, cela ne fait aucun doute : le Christ Noir a sauvé leur communauté.

La statue est alors placée au cœur de l’église de San Felipe, où elle repose encore aujourd’hui. Ce miracle marque le début d’une dévotion fervente qui traversera les siècles.

Une procession hors du temps

Chaque année, au mois d’octobre, Portobelo devient le théâtre d’un spectacle fascinant : la fête du Christ Noir. Les pèlerins, venus des quatre coins du pays, affluent dans le village. Certains parcourent des kilomètres à pied, d’autres rampent sur les derniers mètres, vêtus de robes cérémoniales.

Le point culminant de la fête ? La procession de la statue, drapée dans des vêtements somptueux, spécialement changés pour l’occasion. Les fidèles la portent sur leurs épaules, mais le chemin n’est pas aussi simple qu’il y paraît.

Trois pas en avant, deux pas en arrière

La procession avance à un rythme particulier : trois pas en avant, deux pas en arrière. Ce mouvement lent et presque chorégraphique prolonge le chemin, rendant chaque mètre parcouru une véritable épreuve de foi et de patience.

Un autre mystère entoure cette procession : la légende veut que le Christ Noir devienne si lourd qu’il est impossible de le ramener à l’église avant minuit. Comme si cette heure symbolique marquait la fin d’un dialogue sacré entre la statue et ses fidèles.

Un symbole de foi universel

Le Christ Noir de Portobelo est bien plus qu’une statue : c’est une incarnation de l’espoir, de la résistance et de la foi pour des générations de croyants. Que l’on soit touché par la spiritualité de la légende ou simplement intrigué par son mystère, cette histoire continue d’enflammer l’imagination et les cœurs.

Et toi, que ferais-tu si tu trouvais une telle relique flottant dans les eaux ? Serais-tu prêt à croire au miracle ?

Bertrand, éditeur des Histoires Jamais Entendues

Image (c) Daniestrada01

302, 2025

Albury : une ville au carrefour de l’histoire et du développement

By |3 février 2025|Australie|0 Comments

Albury, ville dynamique de Nouvelle-Galles du Sud, en Australie, s’est imposée au fil des siècles comme un centre régional clé. Située sur les terres ancestrales du peuple Wiradjuri, elle a connu une transformation majeure, passant d’un simple point de passage sur la rivière Murray à une ville prospère au riche patrimoine culturel et économique.

Des origines autochtones à la colonisation européenne

Depuis des milliers d’années, la région d’Albury est habitée par le peuple Wiradjuri, dont la vie était étroitement liée à la rivière Murray, source essentielle de nourriture et de transport. L’arrivée des colons européens au début du XIXe siècle a bouleversé cet équilibre. En 1824, les explorateurs Hamilton Hume et William Hovell établissent un passage rudimentaire sur la rivière, posant les bases de ce qui deviendra Albury.

Avec l’essor de l’industrie pastorale et la ruée vers l’or en Australie, Albury se développe rapidement en un carrefour commercial et un centre de transport majeur reliant la Nouvelle-Galles du Sud aux champs aurifères du Victoria. La ville attire alors une population hétéroclite : bouviers, mineurs et entrepreneurs affluent, cherchant à tirer profit des nouvelles opportunités économiques.

Un centre régional en pleine croissance

À partir du milieu du XIXe siècle, Albury gagne en autonomie politique avec l’introduction du gouvernement responsable en Nouvelle-Galles du Sud. Elle obtient sa propre administration locale et joue un rôle plus actif dans la gestion de ses affaires.

La découverte d’or dans la région accélère encore son développement. À la fin du XIXe siècle, la population explose, dépassant les 10 000 habitants au début du XXe siècle. Albury devient alors un centre régional incontournable, marqué par une grande diversité culturelle avec l’installation de colons européens, d’immigrants chinois et des populations autochtones.

L’essor des infrastructures de transport renforce son importance stratégique. La construction de la ligne ferroviaire reliant Albury à Melbourne et Sydney, et l’inauguration en 1881 de sa gare, inscrite au patrimoine, témoignent du rôle crucial de la ville dans le réseau national.

Albury à travers les épreuves du XXe siècle

Comme de nombreuses villes australiennes, Albury est marquée par les conflits mondiaux. Lors de la Première Guerre mondiale, de nombreux habitants partent au front, tandis que la ville soutient l’effort de guerre. L’entre-deux-guerres apporte des défis économiques, mais Albury retrouve son dynamisme avec la Seconde Guerre mondiale grâce à la création de camps militaires et au développement de l’industrie de la défense.

Aujourd’hui, Albury, qui compte plus de 50 000 habitants, s’est imposée comme un pôle économique et culturel majeur du sud-est australien. Avec une scène artistique vibrante, des galeries, des théâtres et des festivals attirant des visiteurs de tout le pays, elle continue d’évoluer, tout en restant ancrée dans son riche passé.

Bertrand, éditeur des Histoires Jamais Entendues

Image : Thennicke

202, 2025

La légende du Nian : aux origines des traditions du Nouvel An chinois

By |2 février 2025|Chine|0 Comments

Chaque année, la fête du Printemps, aussi appelée guonian, marque le Nouvel An chinois avec des pétards, des décorations rouges et des célébrations familiales. Mais d’où viennent ces traditions ? La réponse se trouve dans une ancienne légende transmise de génération en génération : celle du Nian, un redoutable monstre que les villageois ont dû apprendre à repousser.

Un monstre redouté par les villageois

Selon la légende, le Nian était une créature féroce vivant au fond de la mer. Chaque veille du Nouvel An, il sortait de son repaire pour terroriser les villages, attaquer le bétail et menacer les habitants. Face à ce fléau, la population n’avait d’autre choix que de fuir dans les montagnes, abandonnant temporairement leurs maisons pour échapper à la fureur du monstre.

Un jour, un vieil homme mystérieux fit son apparition dans un village sur le point d’être attaqué. Alors que les habitants s’apprêtaient à partir, il leur assura qu’il savait comment chasser le Nian. Intrigués, ils lui laissèrent une maison pour la nuit. À minuit, lorsque la créature surgit, elle s’arrêta net en découvrant des papiers rouges accrochés aux portes et des flammes illuminant la maison. Soudain, des détonations éclatèrent dans la cour. Pris de panique, le Nian s’enfuit sans demander son reste.

L’origine des traditions du Nouvel An

Au matin, les villageois, stupéfaits de voir leur village intact, comprirent que le monstre redoutait la couleur rouge, la lumière et le bruit des explosions. Dès lors, chaque année, la veille du Nouvel An, ils prirent l’habitude de coller des papiers rouges sur les portes, d’allumer des lanternes et de faire exploser des pétards pour éloigner définitivement la menace du Nian.

Avec le temps, cette pratique s’est répandue à travers toute la Chine, devenant un rituel incontournable du Nouvel An. Aujourd’hui encore, les célébrations du guonian perpétuent cette tradition millénaire, symbole de renouveau et de prospérité.

Bertrand, éditeur des Histoires Jamais Entendues

Image (c) Centre Culturel de Chine

1801, 2025

Kindu, ville stratégique et résiliente en République démocratique du Congo

By |18 janvier 2025|Afrique|0 Comments

Kindu, située dans la province du Maniema, à l’est de la République démocratique du Congo, est une ville au rôle stratégique et au riche passé. Nichée sur les rives du fleuve Congo, elle relie le bassin du Congo à la région des Grands Lacs, en faisant un point névralgique pour le commerce et les échanges culturels.


Avec une population d’environ 200 000 habitants, elle est marquée par une diversité ethnique notable, notamment les Luba, Lega et Bemba.

 

L’histoire de Kindu remonte à l’époque précoloniale, mais elle a pris une importance particulière à la fin du XIXe siècle avec l’arrivée des explorateurs européens. Sous la domination coloniale belge, la ville est devenue un centre administratif, mais également un lieu de souffrances pour la population locale, soumise au travail forcé et à l’exploitation des ressources. Ces pratiques ont marqué profondément le tissu social et économique de la région.
Après l’indépendance de la RDC en 1960, Kindu a traversé des périodes d’instabilité politique et économique. Les conflits des années 1990, notamment les guerres du Congo, ont gravement affecté la ville, entraînant destructions et déplacements. Cependant, Kindu a su se reconstruire et se repositionner comme un centre commercial, notamment grâce à l’exportation de produits agricoles et au commerce minier.
Malgré les défis persistants en matière de gouvernance, de corruption et de sécurité, Kindu incarne la résilience. Ses habitants travaillent à bâtir un avenir meilleur tout en surmontant les obstacles laissés par une histoire tumultueuse.
Bertrand, éditeur des Histoires Jamais Entendues

PS. On s’est fait aider d’une IA pour rédiger cette info. Elle reste vraie (on l’a vérifiée), mais on préfère être transparents. Bon voyage !

1801, 2025

L’arbre le plus ancien de Paris

By |18 janvier 2025|France|0 Comments

À Paris, dans le Square René Viviani, à quelques pas de la cathédrale Notre-Dame, se dresse un arbre singulier : un robinier faux-acacia, considéré comme le plus ancien de la ville. Protégé par une clôture, il est soutenu par des béquilles en béton pour préserver ses branches les plus lourdes.

plus vieil arbre de paris
Planté en 1601 par le botaniste Jean Robin, cet arbre n’est pas originaire de France, mais des Appalaches, en Amérique du Nord. Robin avait remarqué que cette espèce s’adaptait bien au climat tempéré français, ce qui a conduit à son introduction en Europe. En hommage à ce botaniste, le genre Robinia porte aujourd’hui son nom. Bien que souvent confondu avec l’acacia, cette espèce n’est pas directement apparentée, d’où son nom scientifique « Robinia pseudoacacia ».
L’arbre a joué un rôle écologique et économique important. Apprécié pour sa croissance rapide et sa robustesse, il a été utilisé pour reboiser des zones dégradées et produire du bois. Ses fleurs, quant à elles, ont trouvé leur place dans divers produits alimentaires, notamment le thé et le miel d’acacia. Cependant, cette même vigueur a fait du robinier une espèce invasive dans plusieurs régions du monde, y compris en Europe, en Australie et en Afrique du Sud.
Malgré ces controverses, Paris préserve son robinier historique. Son entretien minutieux témoigne d’un respect pour ce témoin vivant de l’histoire botanique et urbaine de la capitale. Combien de temps encore cet arbre continuera-t-il à surplomber le Square René Viviani ? Seul l’avenir le dira.

Bertrand, éditeur des Histoires Jamais Entendues, v

ia Atlas Obscura

PS. On s’est fait aider d’une IA pour rédiger cette info. Elle reste vraie (on l’a vérifiée), mais on préfère être transparents. Bon voyage !

(image : Deborah Lesage / Ville de Paris)
1701, 2025

Californie : protéger les séquoias géants face aux incendies

By |17 janvier 2025|Non catégorisé|1 Comment

En septembre 2020, alors que le Creek Fire menaçait les environs du parc national de Yosemite, des archéologues et écologistes, tels que Jennie Leonard, se sont mobilisés pour protéger les séquoias géants de Mariposa Grove. Ces arbres millénaires, vulnérables face aux flammes, ont été enveloppés de tissus résistants au feu, une mesure essentielle pour préserver ce patrimoine naturel.

Depuis les années 1970, des conseillers en ressources, ou « resource advisors », interviennent pour protéger les écosystèmes et sites culturels des dommages causés par les incendies. Leur rôle est devenu crucial avec l’augmentation des feux de grande ampleur due au changement climatique. Entre 2019 et 2022, les inscriptions à la formation de ces conseillers, organisée par le National Park Service, ont bondi de 125 %, reflétant l’urgence croissante de leur mission.

Les conseillers, souvent issus de disciplines comme la biologie ou l’archéologie, guident les pompiers en identifiant les ressources critiques à préserver. Leur travail, parfois réalisé dans des zones éloignées, inclut la protection d’espèces, de sites sacrés ou d’artefacts culturels, et repose sur une collaboration étroite avec les équipes locales et les communautés tribales.

En 2022, dans le cadre des opérations de nettoyage post-incendie en Californie, Jennie Leonard a contribué à préserver des artefacts exposés par les flammes en aménageant des barrières naturelles pour limiter les intrusions. Ces actions illustrent l’importance de l’anticipation et de la coordination pour minimiser les impacts des feux de forêt.

Malgré ces efforts, la menace demeure. Depuis 2020, plus de 14 000 séquoias géants ont été perdus, soit près de 20 % de l’espèce. Face à ce déclin, les conseillers en ressources redoublent d’efforts pour protéger ces arbres emblématiques, conscients des enjeux pour les générations futures.

Bertrand, éditeur des Histoires Jamais Entendues, via le site Atlas obscura

PS. On s’est fait aider d’une IA pour rédiger cette info. Elle reste vraie (on l’a vérifiée), mais on préfère être transparents. Bon voyage !

(image : Gary Kazanjian / POOL / AFP)
1601, 2025

Chili : Valdivia, une ville façonnée par l’histoire et les catastrophes naturelles

By |16 janvier 2025|Non catégorisé|0 Comments

Valdivia, située dans la région de Los Ríos au Chili, a une histoire riche qui remonte à sa fondation en 1552 par le conquistador espagnol Pedro de Valdivia. Initialement nommée Santa María la Blanca de Valdivia, la ville s’est développée grâce à sa position stratégique sur les rives des rivières Calle-Calle, Cruces et Cau-Cau, offrant un accès direct à l’océan Pacifique.

Au XVIe siècle, Valdivia devint un centre économique prospère, attirant marchands et immigrants. Cependant, en 1599, elle fut détruite par les Mapuches dans le cadre de leur résistance aux colonisateurs espagnols. Ce conflit marqua une période de déclin, jusqu’à la reconstruction au XVIIIe siècle, accompagnée de la construction de fortifications comme le Castillo de Corral pour protéger la ville.
Valdivia a également été un lieu clé de la lutte pour l’indépendance du Chili au début du XIXe siècle. En 1820, la bataille de Valdivia permit aux forces chiliennes de chasser les royalistes espagnols, intégrant ainsi la ville à la République chilienne.
Le XXe siècle apporta à la ville une croissance industrielle, mais aussi des épreuves. Le tremblement de terre de 1960, le plus puissant jamais enregistré, suivi d’un tsunami, provoqua des destructions massives, obligeant Valdivia à se reconstruire.
Aujourd’hui, la ville se distingue comme un centre culturel et éducatif, attirant des visiteurs grâce à ses paysages naturels et son patrimoine historique.
Bertrand, éditeur des Histoires Jamais Entendues

PS. On s’est fait aider d’une IA pour rédiger cette info. Elle reste vraie (on l’a vérifiée), mais on préfère être transparents. Bon voyage !

(image : Arvid Puschnig)
1501, 2025

En Inde, les selfies sont parfois interdits…

By |15 janvier 2025|Non catégorisé|0 Comments

Saviez-vous qu’en Inde, certains lieux sont classés “No Selfie” ? Une curiosité locale à découvrir et respecter pour profiter sereinement de votre voyage.

En voyage, le selfie est devenu un incontournable pour immortaliser les moments forts. Mais en Inde, quelques

des zones en Inde ou les selfies sont interditsendroits vous demanderont de ranger votre téléphone. Ces zones “No Selfie”, instaurées par les autorités, ajoutent une touche d’originalité et de prudence à l’expérience voyage.

L’idée peut surprendre : pourquoi interdire les selfies dans des lieux aussi photogéniques ? La réponse réside dans la sécurité des visiteurs. Par exemple, certaines plages ou falaises attirent des voyageurs à la recherche du cliché parfait, mais les environnements peuvent s’avérer glissants ou dangereux. À Mumbai, notamment, des panneaux discrets signalent ces zones, souvent situées près de l’eau.

Loin d’être une interdiction stricte et pesante, ces mesures apportent une dose d’anecdote à vos aventures. En effet, combien d’amis peuvent dire qu’ils ont visité une plage “No Selfie” ? Ces lieux deviennent une occasion de poser l’objectif, d’apprécier le paysage autrement et de se concentrer sur l’instant présent.

Finalement, ces zones rappellent que le voyage, c’est avant tout une histoire de découverte et non un marathon pour les réseaux sociaux. Alors, si vous croisez un panneau “No Selfie” lors de vos périples en Inde, souriez : c’est une histoire en plus à raconter autour d’un chai en rentrant.

Bertrand, éditeur des Histoires Jamais Entendues

PS. On s’est fait aider d’une IA pour rédiger cette info. Elle reste vraie (on l’a vérifiée), mais on préfère être transparents. Bon voyage !

(image : state of Goa)
110, 2024

Les secrets de la momie Neha au Louvre Lens

By |1 octobre 2024|Non catégorisé|0 Comments

Un article du journal Le Monde daté du 1er octobre 2024  relate la découverte passionnante du contenu d’un sarcophage de momie grâce à un scanner médical.

©PHOTOPQR/VOIX DU NORD/COURBE – LENS

Les équipes du musée du Louvre Lens n’ont en effet pas les moyens de s’offrir un scanner, elles se sont donc appuyées sur celui de l’hôpital de Lens pour explorer le contenu du cartonnage (sorte de sarcophage constitué de nombreuses couches de tissus solidifiées). La momie d’un scribe y dormait depuis 3000 ans : Djedmoutiouefankh Neha.

Le corps est parfaitement conservé. Les viscères, asséchées, ont été replacées dans le corps par une fine ouverture. Une partie du cerveau est même toujours contenue dans la boite crânienne. Des artefacts accompagnent le corps embaumé. C’est une momie d’une qualité exceptionnelle que découvrent les experts du Louvre Lens.

Et puisque les Egyptiens considéraient que le souvenir du nom du défunt lui permettait de survivre à la mort, « pour moi, dit Hélène Guichard, conservatrice générale au département des antiquités égyptiennes du Louvre, Neha a réussi sa quête d’immortalité… »

Si ça, les amis, c’est pas une merveilleuse histoire jamais entendue…

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