La parution des Histoires Jamais Entendues dans une galerie du Louvre, signée Elisabeth Gherardini, est une aventure assez dingue, de celles que seule permet la littérature.
D’abord, parce qu’elle réunit non pas une, mais cinq auteurs et autrices. Ce collectif, cette fraternité, font ma joie d’éditeur autant que ma fierté d’ami. Et puis, parce que le livre est présent depuis février dernier à la librairie du Louvre, dans l’enceinte-même du musée. Comme dit un copain : « vous êtes entrés au Louvre, et de votre vivant ! »
Concordance des temps qu’on lira sous l’angle de l’alignement de planètes ou du hasard bienveillant, ou bien plus simplement de l’intuition de l’un des auteurs, l’une des nouvelles du recueil traite de l’oeuvre fleurie d’Arcimboldo. Or, de qui est-il question ces jours-ci au Louvre ? Tu l’as deviné, les amis : de Giuseppe Arcimboldo, dont le portrait figure parmi les oeuvres de l’exposition consacrée jusqu’en juin 2025 à « l’expérience de la nature – Les arts à Prague à la cour de Rodolphe II« , et constitue le sujet principal de la nouvelle en question. Nouvelle qui fut, d’ailleurs, la première que je reçus pour figurer dans le livre.
Je ne saurais donc trop t’inviter, ami lecteur, amie lectrice, à te rendre au musée du Louvre pour contempler les pièces de cette merveilleuse exposition, avant d’en recueillir le souvenir enchâssé dans un joli petit livre de poche façonné comme un voyage de papier, à la librairie. N’hésite pas dès lors à me donner ton avis sur les histoires qu’il recèle, en particulier sur celle, bien sûr, du peintre fruitier.
Bonne lecture !
Bertrand, éditeur des Histoires Jamais Entendues
Tu veux d’autres histoires sur le musée du Louvre ? Les Histoires Jamais Entendues dans une galerie du Louvre sont pour toi !
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